Archives partenaires

En tant que centre de prestations et de compétences de la Confédération pour une gestion durable de l'information, les Archives fédérales suisses évaluent, prennent en charge, mettent en valeur et communiquent tous les documents de la Confédération suisse qui ont une valeur archivistique.

Les Archives fédérales donnent accès aux documents du Parlement, du Conseil fédéral, de l’administration fédérale et des représentations suisses à l’étranger depuis 1798. Elles abritent actuellement plus de 60 kilomètres linéaires de documents, dont la majorité date des XIXe et XXe siècles. Vous trouverez une vue d’ensemble des documents archivés sur le site des AFS.

Les Archives de l‘État d’Appenzell Rhodes Extérieures veillent à la constitution authentique de l’histoire du canton. Ils sont responsables des documents analogiques et électroniques produits par les autorités, organes et services du canton et de leurs prédécesseurs légaux. En outre, ils conservent des fonds privés présentant un intérêt historique cantonal, transmis par des personnes privées, des entreprises, des associations et des institutions publiques, et gèrent des collections et des documentations.

La base légale constitue la loi sur l’archivage du 22 mars 2010.

Les fonds d’archives répartis en 12 secteurs couvrent pour l’essentiel la période de 1597 jusqu’au présent.

Les Archives de l’Etat d’Argovie conservent le patrimoine culturel et veillent à ce que les documents à valeur archivistique soient conservés, classés et mis à disposition de manière appropriée. Grâce à l’archivage continuel de documents administratifs, les Archives de l’Etat aident à comprendre les procédés étatiques et soutiennent la recherche scientifique. La loi sur l’information du public, la protection des données et l’archivage du 24 octobre 2006 (IDAG) constitue la base légale. Les Archives de l’Etat sont publiques et ouvertes à toutes les personnes intéressées durant les heures d’ouverture.

Fonds
Les fonds des Archives de l’Etat d’Argovie sont constitués de documents couvrant une période allant du Haut Moyen Age à aujourd’hui. De larges dossiers émanant du passé du canton ont été conservés. On trouve dans les Archives de l’Etat, outre les près de 10 000 chartres, de précieux livres et documents officiels provenant d’institutions souveraines religieuses et laïques, comme les monastères de Wettingen, Königsfelden et Muri. La courte époque de l’Helvétique qui s’étend de 1798 à 1803 est également bien documentée. L’essentiel des documents historiques est constitué d’actes gouvernementaux et administratifs du canton d'Argovie fondé en 1803. Les fonds principaux sont complétés par des legs faits par des personnes, des entreprises et des organisations d’intérêt public. Les Archives de l’Etat possèdent également des collections de graphiques, de plans, de photographies ainsi que de films et disposent d'une vaste bibliothèque spécialisée.

Les Archives de l'Etat de BL conservent les documents authentiques et pertinents du Canton de Bâle-Campagne dans les domaines juridique, politique, économique, social, historique ou culturel.
La Loi sur les archives du 11.5.2006 est la base juridique.

L'inventaire des archives reflète sept siècles d'histoire cantonale et administrative. C'est d'ailleurs en parallèle avec l'histoire que la structure des archives s'est formée. La division et la constitution des deux Cantons de Bâle-Campagne et Bâle-Ville en 1832/33 et le passage du système de Pertinence à celui de Provenance vers 1950 en sont les principales sources de développement.

Les documents de l'administration cantonale et des instances juridiques forment l'essentiel des livraisons. A cela s'ajoutent la documentation d'origine privée (personnes, sociétés, associations, firmes, partis) et diverses collections. Actuellement, les actes conservés dans les entrepôts des Archives de l'Etat totalisent 19km.

Les Archives d'Etat de Bâle-Ville contribuent à la préservation d’un patrimoine culturel unique et irremplaçable. Elles assurent pour les institutions publiques du canton et de la ville ainsi que pour le public, notamment pour la recherche et l'éducation, une tradition documentaire permanente. Elles assument la transition entre le passé et le présent en préservant les informations nécessaires pour comprendre le passé et en les rendant accessible. Ses fonds d’archives s’étendent du Moyen Age jusqu’à nos jours. Leur documentation est particulièrement fournie, la ville n’ayant depuis le tremblement de terre de 1356 pas subi de catastrophes majeures telles qu’un incendie ou des dommages de guerre. Seul le partage des fonds d’archives en 1834 suite à la séparation en deux demi-cantons marque une incision sensible.

Les Archives d'Etat de Bâle-Ville conservent outre les fonds d’archives publiques de nombreuses archives privées. Une importante collection iconographique, une collection de cartes et de plans géographiques ainsi que des documents audio-visuels complètent la tradition écrite.

Toutes personnes ont le droit d'utiliser les fonds d’archives conservés aux Archives d’Etat. La consultation est généralement gratuite. Les Archives d'Etat encouragent la recherche en mettant à disposition des instruments de recherche y compris un catalogue en ligne, en fournissant des conseils sur place et en répondant aux demandes écrites.

Les Archives de l'État soutiennent en outre l’administration cantonale dans la gestion et dans le versement de ses documents. Elles décident de la valeur historique des documents et prennent également en charge des fonds privées pour autant que celles-ci présentent un intérêt historique évident.

Les Archives de l'Etat de Berne collectent, classent, décrivent et conservent des documents de valeur permanente et de tous âges des autorités et de l'administration cantonales bernoises. Elles les mettent à la disposition du public dans leurs salles de lecture.

Fonds :
Les Archives de l'Etat conservent les archives de l’ancien Etat-cité de Berne (jusqu’en 1798), des cantons de Berne et de l’Oberland de la République helvétique (1798-1803) et de l’administration cantonale bernoise (de 1803 à aujourd’hui).
En plus des fonds des autorités et de l’administration cantonales, les Archives de l’Etat conservent des archives privées (papiers personnels, archives familiales, archives d’associations, archives d’entreprises, etc.) ainsi qu’une riche bibliothèque spécialisée.

• 24 000 mètres linéaires de documents
• 38 100 chartes
• 25 000 cartes et plans
• 1.2 millions photographies et négatifs

• 49 000 livres
• 168 périodiques
• env. 250 journaux (dont 30 en cours)
• publications officielles du canton de Berne

Vous trouvez les publications que nous conservons dans le catalogue swisscovery Bibliothèques spéciales de Berne.

Les Archives d'Etat, institution cantonale, ont pour mission de veiller à la constitution, à la gestion et à la conservation des archives publiques dans leur ensemble et, plus particulièrement, des archives historiques. Elles gèrent ainsi l'archivage des documents officiels issus des trois pouvoirs de l'Etat (législatif, exécutif et judiciaire), ainsi que des grands établissements rattachés à l'Etat, tels que les Hôpitaux universitaires de Genève.
Les Archives d'Etat constituent de cette manière la mémoire de l'Etat, de ses activités et de son fonctionnement.

Les Archives d'Etat conservent:

• les archives genevoises antérieures à la Réforme, qui consistaient en titres de propriété foncière et privilèges épiscopaux, ducaux, impériaux et pontificaux, puis les premiers documents proprement administratifs, tels que livres de comptes (dès 1364) ou registres du Conseil (dès 1409);
• les archives de l'ancienne République de Genève, de 1536 à 1798;
• les archives du Département du Léman, de 1798 à 1813;
• les archives de la République et canton de Genève, issues des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, de 1814 à nos jours.

Les AEG conservent également des fonds privés en relation avec Genève ou sa région, tels qu'archives de familles, d'entreprises, d'architectes, d’associations ou de paroisses.

Les Archives du canton de Glaris gère l'héritage culturel du canton. Elles garantissent une transmission durable des documents anciens ainsi que la traçabilité des activités de l'Etat pour les organes publics cantonaux ainsi que la collectivité, en particulier pour la recherche et la formation. Pour cela, les Archives cantonales sont en mesure de prendre en charge non seulement les actes ou les données d'organes devant pouvoir être proposés mais aussi les archives de provenance privée essentielles à la recherche.

Le matériel archivé des Archives du canton comprend aussi les actes écrits de la structure étatique d’avant la formation du canton moderne en 1837 dont font partie les Alte Gemeine Archiv des Landes Glarus (les anciennes archives communes du pays de Glaris) dès le XIVe siècle et les Archive der konfessionellen Landesteile (les archives des régions confessionnelles du canton) constituées dès la Réforme jusqu'en 1798, puis les archives de la République helvétique (canton de la Linth 1798-1803) ainsi que les nouvelles archives catholiques, évangéliques et communes datant de l'époque allant de 1803 à 1837. A partir de 1837, les fonds cantonaux classés selon le principe de pertinence ont été affectés aux nouvelles archives avant que ceux-ci n'aient été remplacés par les fonds répondant au principe de provenance. Le fonds de la Commission de la Linth ainsi que des organisations précédentes, constitué à partir du début du XIXe siècle est digne d'être mentionné. En outre, il existe de nombreux fonds privés, certains remontant loin dans le temps, ainsi que des collections aux provenances ou genres archivistiques très divers. La salle de lecture comprend de plus une bibliothèque de consultation.

Les Archives d’Etat des Grisons (Staatsarchiv Graubünden) ont pour mission de veiller à la conservation, à la gestion et à la mise à disposition des documents relatifs à l’histoire des Grisons ainsi que de tous les actes administratifs essentiels à la sauvegarde des droits et des intérêts du canton.

Elles constituent la mémoire historique du canton et de sa population en conservant et en gérant un patrimoine culturel exceptionnel, principalement des pièces uniques – depuis les manuscrits sur parchemin du Moyen-Âge jusqu’aux données électroniques – et en le mettant à la disposition des chercheurs et des amateurs de l’histoire et de la culture des Grisons.

Les plus anciennes collections des Archives d’Etat datent du Haut Moyen-Âge. Outre les actes administratifs du canton des Grisons depuis 1803, les Archives d’Etat conservent les archives de la république des Trois Ligues (Freistaat der Drei Bünde) depuis la fin du XVème siècle jusqu’à 1798 et les archives helvétiques 1798-1803. Ces actes officiels sont complétés par un grand nombre d’archives non étatiques provenant de familles, de sociétés, d’associations, de successions, etc. Par ailleurs, les Archives d’Etat recensent une importante collection de documents, photos, plans et documents généalogiques. Les utilisateurs disposent ainsi d’une multitude de ressources.

Les archives peuvent être consultées librement et gratuitement dans la salle de lecture. Les guides de recherche sont consultables sous forme de fichiers pdf ou dans le catalogue en ligne sur le site Internet www.staatsarchiv.gr.ch. Un inventaire de tous les fonds des Archives d’Etat (en allemand) est disponible ici.

Les Archives d’Etat apportent leur soutien aux services de l’Administration cantonale, aux communes, aux arrondissements et aux districts pour toutes les questions touchant à la gestion et à l’archivage des documents et conseillent les institutions et particuliers en ce qui concerne la recherche et l’utilisation des archives.

Les ArCJ conservent plus de 4km d'archives datant essentiellement du XIXe et XXe siècles. Elles classent, collectent, trient, décrivent et conservent des documents de valeur permanente, de tous âges et de provenances diverses.
En plus des archives produites par les instances officielles, les ArCJ gèrent les archives de la période bernoise, les archives privées de personnalités, d'entreprises, de sociétés et d'associations (fonds privés). Elles établissent également des dossiers documentaires concernant l'histoire jurassienne. Elles les mettent à la disposition du public dans leur salle de lecture.

Fonds :
1) Archives administratives (1979- aujourd'hui) : Conformément à la loi sur l’archivage du 20 octobre 2010 (LArch: RSJU 441.21), les ArCJ travaillent de manière transversale avec les services de l'administration de la République et Canton du Jura pour organiser le cycle de vie de leurs dossiers. Les ArCJ conservent les archives produites par les instances officielles depuis l’entrée en souveraineté du Canton en 1979. D'après la LArch, les dossiers de l'administration deviennent publics 15 ans après leur clôture.
2) La période bernoise: 1815-1978. Les ArCJ conservent les archives de l’administration décentralisée des trois districts fondateurs: Delémont, les Franches-Montagnes et Porrentruy. Cela concerne les préfectures, les bureaux du registre foncier, les tribunaux de district; les arrondissements des ponts et chaussées, les arrondissements forestiers; les écoles cantonales, et quelques autres fonds. Dès lors que le niveau décisionnel est supérieur à ceux mentionnés ci-dessus, les dossiers d'affaire sont conservés par les Archives de l'Etat de Berne.
3) Les fonds privés. Les ArCJ ont collecté plus de 200 fonds d'archives privées auprès de personnes privées ou morales qui ont joué un rôle important pour l'histoire jurassienne. On peut mentionner, pour les personnes physiques:

• Auguste Viatte, professeur de français au Québec et l'un des fondateur de la francophonie;
• Eugène Péquignot, secrétaire du Département fédéral de l'économie pendant 40 ans;
• ou encore Roland Béguelin, fondateur du Rassemblement jurassien

• les archives de l'entreprise Condor, de Courfaivre, qui a fourni l'armée suisse en vélos pendant de longues années;
• le Rassemblement jurassien, mouvement politique à l'origine de la création de la République et Canton du Jura;
• le comité d'action contre l'établissement d'une place d'armes aux Franches-Montagnes.

• 4000 mètres linéaires de dossiers
• environ 5000 plans
• 25'000 photos de presse

Les Archives d'État de Lucerne ont pour mission légale la collecte, le traitement, la conservation et la communication des documents émanant de l'État et de son administration, ainsi que d’instances et autres organismes privés.

Leurs fonds documentaires se répartissent en quatre grands ensembles, à savoir :

• les documents officiels de la Ville et du Canton de Lucerne, couvrant la période du XIIIe siècle au XVIIIe siècle;
• les documents officiels de l'Administration et de la Justice cantonales, depuis 1798;
• les archives des couvents supprimés au XIXe siècle, entre autres celles du monastère cistercien de St. Urban, des monastères bénédictins de Lucerne et de Werthenstein, ainsi que celles des Ordres de chevalerie de Hitzkirch, Hohenrain et de Reiden;
• les archives de personnes, de familles et d’institutions privées comme celles d’organisations, de partis politiques, d’entreprises industrielles et/ou commerciales. Parmi elles, relevons en particulier les documents d'associations catholiques actives dans toute la Suisse, à l’instar de Caritas, de l’Action de Carême, de la Ligue suisse des femmes catholiques et du Comité directeur de la Jungwacht Blauring.

Les Archives de l’État sont chargées de collecter, conserver et mettre à disposition les archives de la République et Canton de Neuchâtel. Elles participent ainsi à la constitution de la mémoire collective, à la sécurité juridique de l’État et à la traçabilité des activités publiques.

Environ 400 fonds d’archives publiques et privées, représentant près de 12 kilomètres-linéaires, sont à disposition du public, des chercheurs et de l’administration. On accède à leurs inventaires via le portail des archives neuchâteloises.

Les archives d'État de Nidwald sont les archives publiques du canton. Elles conservent un patrimoine culturel unique issu de plus de 800 ans d'histoire de Nidwald.

Fonds
Les fonds des archives d'État remontent à 1218 et couvrent trois domaines :

• Fonds cantonaux
• Archives privées et collections
• Archives communales, ecclésiastiques et corporatives.

Les fonds cantonaux et les fonds des archives communales, ecclésiastiques et corporatives documentent l'action de l'État. Les archives privées et les collections complètent les fonds publics et élargissent la perspective sur l'histoire de Nidwald.

Les fonds d'archives sont librement accessibles, dans la mesure où ils ne sont plus soumis à un délai de protection. De plus en plus de documents d'archives sont disponibles en ligne.

Les Archives de l‘État d’Obwald veillent à la constitution authentique de l’histoire du canton. Ils sont responsables des documents analogiques et électroniques produits par les autorités, organes et services du canton et de leurs prédécesseurs légaux. En outre, ils conservent des fonds privés présentant un intérêt historique cantonal, transmis par des personnes privées, des entreprises, des associations et des institutions publiques, et gèrent des collections et des documentations.

La base légale constitue l'ordonance d'archives de l'Etat du 18. octobre 1996.

Les fonds d’archives répartis en 10 secteurs couvrent pour l’essentiel la période de 1210 jusqu’au présent.

Les Archives cantonales d’Appenzell Rhodes-Intérieures sont le point central de dépôt des documents dignes de conservation, produits par les organes officiels du canton. En tant que principal lieu de documentation du canton, elles transmettent, en prenant en considération la protection des données, les informations sur le territoire, l’Eglise, les arts et l’histoire culturelle d’Appenzell Rhodes-Intérieures depuis la moitié du XIIème siècle jusqu’à nos jours.
Dans les Archives cantonales sont aussi conservées les archives des communes des deux demi-cantons, qui comprennent les documents jusqu’au moment de leur division, survenue en 1597.
Ces fonds sont complétés par de nombreuses archives paroissiales, de cercles d’étudiants, de corporations, de fondations, d’associations, d’entreprises et de personnalités importantes appenzelloises.

Situées dès le début du 17ème siècle au "Rathausbogen", les Archives de l'Etat de Schaffhouse sont le dépositaire des documents de l'administration, des autorités, des tribunaux et des entreprises du Canton de Schaffhouse.

L'ensemble des fonds comprend environ 4 km. Les principaux fonds sont constitués par les documents des anciens couvents d'Allerheiligen et de Sankt Agnesen à Schaffhouse ainsi que de l'ancien couvent Sankt Georgen à Stein am Rhein, tous supprimés à la Réforme. Il faut y ajouter les fonds des services de l'Etat, créés pour administrer les biens des couvents supprimés. Le document le plus ancien date de 987.

L'ensemble des fonds comprend:

• environ 6000 chartes / parchemins
• tous les contrats et traités conclus par l'Etat jusqu'à nos jours
• les procès-verbaux et documents de la Ville-Etat de Schaffhouse jusqu'en 1830
• les procès-verbaux et documents du Canton de Schaffhouse dès 1831
• les plans et cartes historiques et modernes/contemporaines
• les documents iconographiques y compris les photos concernant le canton de Schaffhouse
• les dépôts et dons de personnes privées, d'associations, sociétés et partis politiques
• une bibliothèque de travail composée d'environ 25'000 ouvrages historiques ou ayant trait aux sciences auxiliaires de l'histoire

Les archives d'Etat de Schwytz collectent, protègent et exploitent les documents analogiques et numériques durablement dignes d'être retransmis de l'administration cantonale et ses institutions prédécesseurs pour des raisons juridiques et historiques. Le plus ancien document en original est celui de l'empereur Frédéric II, qui a accordé l'immédiateté impériale (en allemand: Reichsfreiheit) pour le peuple de Schwytz en 1240; le Pacte fédérale de 1291 est un autre document d'importance nationale, qui sera exposé dans le Musée des chartes fédérales à Schwytz. L'activité gouvernementale est transparent par la conservation permanente des fichiers et permet la recherche scientifique. Base juridique pour cela est la Loi sur les archives du 18 Novembre 2015. Un complément précieux pour les dossiers officiels forment les différents fonds de provenance non gouvernementale (archives familiales, archives d’entreprises, archives d’associations, papiers personnels etc.) en relation avec le canton Schwytz. Il y a aussi une vaste documentation pour la recherche personnelle et familiale. Les fonds sont complétées par la collection graphique et la collection de photos. Parmi les collections les plus importantes comprennent la collection de journaux du canton Schwytz.
Les Archives d'Etat soutiennent les autorités cantonales, ainsi que les municipalités et les districts dans le classement et l'archivage et conseillent des institutions telles que des particuliers en matière de recherche.

Depuis la création du canton en 1803, les Archives d’État du canton de Saint-Gall perpétuent la tradition des autorités cantonales, de l’administration cantonale et des institutions de l’État.

À cela s’ajoutent les fonds des prédécesseurs en droit de l’actuel canton. Il s'agit en particulier des archives du canton du Säntis, partiellement des archives du canton de la Linth et de quelques bailliages communs qui existaient avant 1798 dans le territoire du canton actuel. La tradition de ces derniers remonte même jusqu'au Moyen Âge tardif.

Les Archives d'État complètent les sources cantonales en collectant les archives d’origine communale ou surtout privée d'importance pour l'histoire cantonale. Il peut s’agir d’archives historiques de villes, de familles, d'entreprises, d'associations ou de partis. En outre on trouve dans les Archives d'État des collections diverses dont une collection importante de photos ou encore de films. En raison de leur localisation à la frontière du lac de Constance et du Rhin alpin, les Archives d’État offrent également un aperçu des thématiques transfrontalières.

En 2023, les fonds des Archives d'État du canton de Saint-Gall représentent 10 à 12 kilomètres de papier et sont accessibles aux services de l’État, aux scientifiques et aux particuliers. La Salle de lecture numérique (DLS) offre depuis peu une possibilité de recherches moderne qui permet un accès supplémentaire aux archives numériques de plus en plus nombreuses (2023: 26 To).

Les Archives de l’Etat de Thurgovie comportent le stockage d’informations ouvert au public le plus riche concernant l’histoire et la présence du canton de Thurgovie. Ses fonds d’archives débutent en l’année 1125 et poursuivent jusqu’ à 2010. La bibliothèque de référence contient une collection presque complète de toutes les oeuvres publiée sur la Thurgovie.

Les Archives d'Etat du canton d'Uri collectent, classent et conservent les documents cantonaux de valeur permanente et veillent à leur préservation. Elles conservent tous les fonds d'archives de l’Etat et les mettent à la disposition du public dans la salle de lecture et via le site Internet.

Fonds
Les Archives d'Etat conservent les archives de l'ancien Pays d'Uri (jusqu'en 1798), la partie uranaise des documents du canton helvétique de Waldstätten (1798-1803) ainsi que les documents de l'administration d'Etat uranaise et des tribunaux cantonaux depuis 1803 jusqu'à nos jours.

Outre les archives d'origine étatique, les archives d'État conservent de nombreuses archives privées importantes ainsi que la collection cantonale d'art et de biens culturels. Une vaste collection d'images ainsi que la collection de films et de supports sonores complètent la tradition écrite.

• 1'500 mètres linéaires de dossiers
• Documents officiels imprimés du canton d'Uri
• 200 diplômes historiques
• 600'000 photographies et négatifs de photos
• 1'400 films et supports sonores
• 2'600 unités de la collection cantonale d'art et de biens culturels

La bibliothèque des archives est gérée par la bibliothèque cantonale d'Uri. Une vaste collection d'Uraniensia y est également gérée. Les fonds peuvent être recherchés via le site web de la bibliothèque cantonale. https://www.kbu.ch/

Les Archives de l'Etat du Valais ont une mission à la fois administrative, historique et culturelle, puisqu'elles sont chargées de rassembler, de classer, d'inventorier, de conserver, de communiquer et de mettre en valeur les documents d'archives appartenant à l'Etat, produits par l'Administration cantonale, ainsi que tout document concernant l'histoire du Valais et la société valaisanne. Au sein de l'institution, les archivistes traitent les fonds d'archives qui leur sont confiés, les conservent et les mettent à disposition du public pour tous types de recherches. Les archivistes interviennent également auprès des services de l'Etat, des communes, mais aussi des privés, pour les conseiller sur la gestion de leurs documents et de leurs archives.

Les Archives cantonales vaudoises sont le dépôt central des archives des autorités exécutives, législatives et judiciaires du canton de Vaud et organismes qui exercent des missions étatiques, au sens de la loi sur l’archivage du 14 juin 2011. Elles conseillent et encadrent l’archivage dans les communes, tout en s’employant à être le dépôt central des inventaires historiques et en vigueur, qu’elles ont le plus souvent rédigés (voir les deux bases de données Panorama 1 et Panorama 2).

Plus de 1900 fonds d’archives privées sont conservés à ce jour. Tous les fonds sont signalés dans la base de données DAVEL, avec un taux de couverture par des inventaires individuels de 98% des fonds conservés.

Le premier document original date de 970.

Fondées en 1898, les Archives de l’État du Vorarlberg à Bregenz sont les archives publiques de l’administration du Land du Vorarlberg. Leur mission est de conserver et de fournir des informations. La préservation des fonds vise à garantir la traçabilité des actions de l’État et des acteurs proches de l’État, ainsi qu’une transmission authentique de l’histoire du Land du Vorarlberg.

Les Archives de l’État du Vorarlberg soutiennent les services de l’administration de l’État dans la tenue et la gestion des dossiers et acquièrent les documents qu’elles ont sélectionnés comme fonds d’archives.

Le cœur des fonds est constitué par les archives de l’État, à commencer par celles des "Landstände" au 16e siècle. Par ailleurs, les Archives de l’État conservent, entre autres, les archives des communes, des monastères, des paroisses, des anciens services de l’État et des services fédéraux actuels, soit un total d’environ 20.000 mètres linéaires. Le document le plus ancien date de 1139.

Après l'expiration des restrictions d'accès, toute personne a un droit légal d'accès aux archives. Les Archives de l’État numérisent et publient également des copies numériques de ces documents en ligne. L'utilisation est gratuite.

Les archives d'Etat du canton de Zoug - «Staatsarchiv Zug»- sont les archives centrales des autorités, des services administratifs et de tiers privés du canton de Zoug; elles accomplissent des tâches publiques par ordre du canton. La loi sur les archives du 29 janvier 2004 est la base juridique de l'activité des archives d'Etat.
Les archives d'Etat accueillent, protègent et exploitent les documents durablement dignes d'être retransmis. Elles garantissent la retraçabilité démocratique d'actions étatiques et sécurisent des sources authentiques et leur maintien en mémoire sur le long terme.

Les fonds des archives d'Etat, titres, livres, actes, plans, photographies, etc., constituent la mémoire de données la plus importante du canton de Zoug. Les fonds principaux comportent les archives de l'ancien Etat de Zoug depuis le 14e siècle jusqu'en 1798, les archives du canton helvétique de Waldstätten (1798–1803) et les archives des autorités et services cantonaux, ainsi que les archives des instituts cantonaux indépendants de 1803 à nos jours. Outre les documents étatiques, les archives d'Etat conservent également des archives privées importantes pour l'histoire du canton de Zoug.

Dans la salle de lecture, les archives d'Etat rendent leurs fonds accessibles au public dans le cadre des dispositions prévues par la loi. Une bibliothèque historique de grande ampleur est de plus à disposition.

Les Archives de l’Etat sont les archives définitives du parlement, du gouvernement, de l’administration cantonale et des districts, des tribunaux et des offices publics du canton de Zurich, dont elles collectent, décrivent et conservent les documents dignes d’un archivage à long terme. En tant qu’archives historiques, les Archives de l’Etat gèrent les documents de l’ancienne cité-État zurichoise depuis le Moyen Âge. Ces fonds publics sont complétés par des archives privées (p.ex. d’entreprises, d’associations, de corporations, de familles et de personnalités).

Grâce à la conservation de ces documents, les activités de l’Etat deviennent transparentes, la recherche historique est rendue possible, et les intérêts culturels sont garantis.

Toute personne intéressée peut consulter les fonds archivés dans le cadre des dispositions légales. Les Archives de l’Etat disposent d’une bibliothèque publique (sans prêt) consacrée essentiellement à l’histoire du canton de Zurich et à l’archivistique. Elles surveillent et conseillent les communes en matière d’archivage.

Les Archives de l’Etat sont un service de l’administration cantonale, rattaché à la direction de la justice et de l’intérieur.

Les archives communales du canton de Zurich sont les archives des autorités et de l'administration des communes du canton. Les archives communales sont chargées de la collecte, de l'évaluation, de la description et de la conservation des documents relatifs à l'histoire de la commune concernée, dans le but de les rendre accessibles au public. Les fonds des archives communales documentent les décisions et les actions des autorités et de l'administration communales et permettent de les retracer à long terme.

Les archives communales du canton de Zurich sont des archives publiques conformément à la loi. Elles permettent aux personnes intéressées d'accéder aux documents archivés sur demande. Archives Online permet d'effectuer des recherches dans les données inventoriées des archives communales zurichoises suivantes :

• Archives communales de Dürnten
• Archives communales de Lindau
• Archives municipales d'Opfikon

La mission des Archives de la Ville de La Chaux-de-Fonds (AVCF) consiste à collecter, classer, conserver et communiquer les documents produits ou reçus par la Ville et destinés à la conservation sans limite de durée, principalement en raison de leur intérêt historique. Elles contribuent également à garantir la protection des intérêts de la Ville et de ses administrés, ainsi que la transparence et la traçabilité des activités publiques.

En principe, le service se consacre exclusivement aux archives publiques, ces dernières lui étant versées par les entités communales et paracommunales en application de la Loi cantonale sur l'archivage (LArch) du 22 février 2011. Les Archives de la Ville ne collectent pas d'archives privées. Une autre institution patrimoniale, la Bibliothèque de la Ville, prend en charge de tels fonds au sein de ses collections.

Principaux fonds conservés :

• Archives anciennes: fonds d'archives de l'ancienne commune (1656-1851/1888)
• Archives modernes: fonds d'archives de la Municipalité de La Chaux-de-fonds (1851-1888) et fonds d'archives de l'ancienne Municipalité puis Commune des Eplatures (1851-1900)
• Archives contemporaines: fonds d'archives des différents services de la Commune moderne (depuis 1888)

Les Archives de la Ville de Neuchâtel (AVN) sont chargées de collecter, de conserver et de mettre à disposition les archives de la Ville de Neuchâtel. Elles participent ainsi à la constitution de la mémoire collective, à la sécurité juridique de la commune et à la traçabilité des activités publiques.
En plus des archives publiques qui remontent à 1214, de nombreux fonds d'archives privées (entreprises, associations, familles, personnalités, ...) sont à disposition du public, des chercheurs et de l’administration, à l’exemple du fonds de l’entreprise Suchard-Tobler.
Les AVN sont structurées en service (aujourd'hui en office) depuis 1976. Elles conservent les archives de toutes les communes fusionnées : Neuchâtel, La Coudre (fusion en 1930), Corcelles-Cormondrèche, Peseux et Valangin (fusion en 2021).
Depuis 2003, les AVN se trouvent aux Galeries de l’histoire où elles disposent d’un vaste espace d’exposition ouvert au public.

Les Archives de la ville de Schaffhouse assurent pour les institutions publiques de la ville ainsi que pour le public, notamment pour la recherche et l'éducation, une tradition documentaire permanente. Elles assument la transition entre le passé et le présent en préservant les informations nécessaires pour comprendre le passé et en les rendant accessible. Ses fonds d’archives s’étendent du Moyen Age jusqu’à nos jours.

Les Archives de la ville de Schaffhouse conservent outre les fonds d’archives publiques de nombreuses archives privées. Une importante collection iconographique, une collection de cartes et de plans géographiques ainsi que des documents audio-visuels complètent la tradition écrite.

Toutes personnes ont le droit d'utiliser les fonds d’archives conservés aux Archives de la ville. La consultation est généralement gratuite. Les Archives de la ville encouragent la recherche en mettant à disposition des instruments de recherche y compris un catalogue en ligne, en fournissant des conseils sur place et en répondant aux demandes écrites.

Les Archives de la ville soutiennent en outre l’administration de la ville dans la gestion et dans le versement de ses documents. Elles décident de la valeur historique des documents et prennent également en charge des fonds privées pour autant que celles-ci présentent un intérêt historique évident.

Nous travaillons pour l'éternité : les archives de la ville de Zoug conservent en permanence les documents qui présentent un intérêt juridique, social, économique, culturel ou historique pour la ville de Zoug à l'avenir. De cette manière, nous entretenons la mémoire à long terme de la ville de Zoug et de ses habitants.

Dans notre répertoire en ligne, vous trouverez des fonds de plusieurs institutions : Ceux des archives de la ville de Zoug, ceux de la collection et documentation de Zoug (appartenant à la bibliothèque de Zoug) ainsi que ceux de la paroisse catholique de Zoug.

Les archives de la ville de Zurich sont constituées, principalement, par les archives municipales depuis 1798 et par les archives des 19 villages incorporés qui font maintenant partie de la ville de Zurich. A l'instar des archives communales, divers autres fonds remontent à la période pré-helvétique, notamment en ce qui concerne les biens urbains, tels que le Fraumünsteramt, le Sihlwald ou le bénéficiaire St. Jakob an der Sihl. Les registres des citoyens, dès la fin du Moyen Âge, ainsi que les registres paroissiaux, dès la Réforme, sont accessibles aux Archives municipales de Zurich. L'accent est mis sur les dossiers des autorités municipales et de l'ensemble de l'administration municipale des 200 dernières années. Le département "Archives spéciales" avec environ 600 fonds provenant de sources privées est également d'une importance capitale. Une vaste bibliothèque complète les fonds d'archives (bibliothèque de référence avec un accent sur la Turicensia).

Les Archives de l'ancienne abbaye de Saint-Gall (Stiftsarchiv St.Gallen), propriété commune du Canton et de la Communauté catholique du canton de Saint-Gall, contiennent les documents juridiques et les actes administratifs de l'abbaye sangallienne depuis sa fondation vers 720 jusqu'à sa sécularisation en 1805. Plus de 750 chartes sur parchemin (les «traditiones») et une centaine de diplômes carolingiens et ottoniens datent d'avant l'an mil. Cet ensemble de chartes revêt une importance capitale pour l'histoire - en particulier pour la période avant l'an mil si pauvre en documents - non seulement de la Suisse orientale, mais également de Zurich, de Thurgovie, de l'Argovie, d'Appenzell, de Schaffhouse, de Berne, des Grisons, de Schwytz, du Vorarlberg, de l'Alsace et de l'Allemagne du Sud. Les archives abbatiales renferment des informations historiques concernant une grande partie du canton de Saint-Gall et certaines régions voisines jusqu'à la fin de l'Ancien Régime. Elles constituent par conséquent des Archives d'État pour cet époque.

De plus le Stiftsarchiv contient les archives et la bibliothèque de l'ancienne abbaye de Pfäfers («Fabaria»). Cette abbaye, dont la fondation remonte à 750 environ, a été sécularisée en 1838, date à laquelle les archives et près de 40 manuscrits, dont quelques-uns datent du IXe siècle, ont été intégrés aux Archives abbatiales.

Dans son espace d'exposition dans le quartier de l'Abbaye de Saint-Gall, le Stiftsarchiv fait connaître ses collections et l'importance des archives dans un contexte muséal.

Fonds d’archives d'architectes paysagistes suisses comme Evariste Mertens, Willi Neukom, Ernst Cramer ainsi que de l'architecte paysagiste allemand Leberecht Migge, fondé en 1982.

L'association pour la conservation des Archives de la vie ordinaire (AVO) se propose de donner la parole aux hommes et aux femmes "ordinaires", qui ont été et qui sont les artisans apparemment insignifiants de l'histoire, à travers les témoignages qu'ils nous ont laissés sur leur vie quotidienne. Ses buts : Sauvegarder, conserver, classer et mettre en valeur les documents écrits (lettres, journaux intimes, récits de voyage, etc.) qui représentent la mémoire de cette histoire.

Historique
C’est à l’initiative de Jacqueline Rossier ancienne conservatrice du Château et musée de Valangin et de l'historien Jean-Pierre Jelmini que l’on doit la création des AVO en février 2003.

Conservés et classés dans des locaux adéquats, les documents constituent progressivement un fonds scientifique remarquable. Celui-ci s’accroît régulièrement grâce à une politique active d’information et de collecte, menée par les AVO auprès du public, et de celles et de ceux qui entrent en possession de documents de ce type, lors d’héritages ou de successions, et aussi par des dons du vivant des témoins.

Les fonds sont mis à disposition des chercheurs à la salle de lecture de la BPUN.

En 2021, les AVO ont été reconnues par le Conseil d’Etat comme centre de compétence pour la sauvegarde des témoins ordinaires de l’histoire neuchâteloise.

L’activité des AVO, outre celle primordiale de constituer les archives, comprend aussi l’organisation de colloques, la participation à des expositions en collaboration avec les musées, le soutien à la publication d’ouvrages et la diffusion de l’intérêt des fonds par des lectures publiques à travers le canton (notamment lors des 20 ans de l’institution en 2023).

Les Archives d'histoire contemporaine de l'ETH Zurich rassemblent des documents écrits, sonores et visuels de collections privées sur l'histoire de la Suisse de la fin du 19e siècle à nos jours et rendent ces sources historiques accessibles au public.

Avec la préservation et la conservation du patrimoine culturel suisse, elles remplissent une mission d'importance nationale dans le cadre de l'orientation stratégique de l'ETH Zurich et, en tant qu'archives dites spéciales, complètent les activités traditionnelles de l'Etat.

Les Archives d'histoire contemporaine s'occupent en premier lieu de la sauvegarde et du catalogage des biens de personnes physiques et des archives d'organisations privées dans les trois domaines thématiques de la politique, de l'économie et de l'histoire juive suisse. Avec ses services, elle promeuvent l'enseignement et la recherche sur l'histoire contemporaine suisse dans son contexte international.

Les Archives Max Frisch sont une institution scientifique indépendante, soutenue par la Fondation Max Frisch et situé au sein de la Bibliothèque de l'EPF de Zurich. Elles conservent et enrichissent successivement le fonds littéraire de l'écrivain suisse Max Frisch, diplômé de l'EPF. Les nombreux fonds sont disponibles pour la recherche scientifique, journalistique et artistique.

Histoire
En collaboration avec Siegfried Unseld, Peter Bichsel, Adolf Muschg et Peter von Matt, Max Frisch décide en 1979 de créer une fondation Max Frisch. Selon sa charte, une de ses tâches principales était «d’établir les archives de Max Frisch, situées en Suisse, dédiées à la recherche». Depuis la mort de l'auteur en 1991, la fondation est chargée de «la gestion du patrimoine littéraire et de tous les droits et obligations» qui découlent de sa diffusion et de sa valorisation.

La Société suisse des traditions populaires (SSTP) existe depuis 1896.
Depuis les années 1930, elle collectionne des photos.
Depuis 2018, ces dernières sont accessibles en ligne !
250'000 objets photographiques, 30 collections, 150 années d'histoire de la photographie !
De Sumiswald à Sumatra, des ambrotypes au support polyester, de l'artisanat à la vie paysanne et à la bourgeoisie citadine en passant par l'industrie : les Archives photographiques de la Société suisse des traditions populaires disposent d'un trésor aux multiples facettes.
Les photos d'amateurs et de professionnels nous proviennent de toutes les régions linguistiques de Suisse ainsi que de nombreux pays d'Europe, d'Amérique, d'Asie, d'Afrique et d'Océanie.

Depuis 2014, environ 100'000 objets photographiques issus de 16 collections différentes ont été remis en état et répertoriés dans le cadre d'un projet photographique initié par la Société suisse des traditions populaires (SSTP). Sous la direction du prof. Dr. Walter Leimgruber et en étroite collaboration avec le Digital Humanities Lab de l'Université de Bâle et l'atelier de restauration Anklin & Assen, tous ces objets ont été conservés, restaurés, numérisés et répertoriés dans une base de données.

Les Archives Sociales Suisses sont la référence par excellence pour tous celles et ceux qui se penchent sur la question sociale et les mouvements sociaux. Les Archives Sociales Suisses collectent des documents de toutes sortes – depuis le manuscrit jusqu'à la photographie digitale –, les mettent à la disposition du public et les conservent pour les générations à venir.

Bibliothèque, Archives, Documentation
L'institution des Archives Sociales Suisses remplit les fonctions suivantes: Bibliothèque scientifique, Archive historique et centre de Documentation contemporaine et actuelle. Vous trouverez chez nous des documents portant sur des questions sociales fondamentales ainsi qu'un vaste spectre de réponses à ces questions. Par exemple la coexistence des générations, les rapports sociaux de sexe, les migrations, le travail, la politique sociale, les syndicats, les partis politiques et les mouvements sociaux, la communication, l'environnement, le transport. Il y a à votre disposition des ouvrages, des revues, des archives, des manuscrits, des affiches, des épinglettes, des coupures de presse, des brochures et des feuilles volantes, des documents sonores et iconographiques ainsi que des journaux électroniques et une documentation de presse numérique.

Organe responsable
Les Archives Sociales Suisses ont été fondées en 1906. Elles sont soutenues par un organe responsable à large assise non-partisane.

Les Archives de Thomas Mann auprès de l'EPF de Zurich veillent à la sauvegarde et la gestion du patrimoine littéraire de Thomas Mann. Depuis la fondation des Archives en 1956, ce patrimoine est disponible pour la recherche scientifique et pour le public intéressé. L’ensemble des fonds contient les manuscrits et autres documents que Thomas Mann avait remis aux Archives de son vivant ainsi que l’ameublement de son cabinet de travail, y inclus la bibliothèque et les effets personnels. Ce patrimoine est continuellement augmenté. En tant qu’établissement de recherche, les Archives de Thomas Mann disposent d’une vaste bibliothèque de littérature critique sur la vie, l'œuvre et l'impact de Thomas Mann.

Les archives de l'EPF de Zurich veillent à la sauvegarde, la description et à la mise en valeur des documents de l'EPF de Zurich (fondée en 1855) et du Conseil des EPF. Elles traitent en outre des fonds privés de sociétés scientifiques en relation avec l'EPF de Zurich. Les fonds archivistiques permettent une recherche sur l'histoire des sciences, des universités et des techniques, , soit nationale ou internationale. Des dossiers biographiques et documentaires complètent les fonds.

Histoire
Les archives universitaires de l'EPF de Zurich ont été fondées suite à l’adoption de la Loi fédérale sur l'archivage (LAr) en 1998. Les fonds privés et administratifs antérieurement remis à la Bibliothèque de l’EPF de Zurich, étaient intégrés aux archives.

UZH Archiv (UAZ) sont les archives centrales de l’Université de Zurich.

En tant qu’archives publiques de l’Université, UZH Archiv prend en charge, évalue et fournit les documents de tous les organes universitaires à transmettre à long terme sous forme analogique et numérique. Ces documents sont complétés par des biens à transmettre émanant de privés, tels qu'œuvres et archives des sociétés ainsi que par une collection de « publications officielles » universitaires (brochures d’information, directives, descriptions de cours e.a.).

Avant d’obtenir son indépendance en tant qu’institution de droit public en septembre 1998, l’Université fondée en 1833 faisait partie de l'administration cantonale et des Archives d'État du canton de Zurich. Une grande partie des actes des autorités plus anciens sont disponibles via les Archives d'État qui hébergent aussi les archives de la « Société d’étudiants de l’Université de Zurich », qui a été dissolue en 1978.

Nées du dépôt de la chancellerie de l’Université, les archives n’ont pendant longtemps pas été accessibles. En 1985, un poste d'archiviste a été créé pour la première fois à l’UZH. En 1998, les archives ont obtenu le statut d’unité au sein de l’organisation. Suite à la suppression du poste de documentation qui avait été créé pour l’histoire universitaire (DUG) en 1972, une série d'œuvres a été intégrée de même que la collection entretenue par la DUG. Les collections des archives de l’UZH remontent donc jusqu’au 19e siècle et documentent la recherche, l'enseignement et l’histoire de la construction de l’Université.

La Bibliothèque de la Bourgeoisie est une institution de la Bourgeoisie de Berne. Elle fut fondée en 1951, pour accueillir les manuscrits de l’ancienne Bibliothèque de la ville, lorsque celle-ci fut transformée en fondation.

Aujourd’hui, la Bibliothèque de la Bourgeoisie conserve des archives publiques et scientifiques comprenant de nombreux fonds de manuscrits, de matériel archivistique et d’images, souvent de réputation internationale.

Parmi les collections les plus connues se trouvent la Bongarsiana (manuscrits du Moyen-âge et de la Renaissance) et les archives sur l’histoire de la Suisse et de Berne, dont les «papiers» de personnalités importantes, telles qu’Albrecht von Haller et Jeremias Gotthelf. La bibliothèque conserve également les archives de la Bourgeoisie de Berne ainsi que celles des corporations et des sociétés bourgeoises.

En tant qu’institution scientifique et publique, la Bibliothèque de la Bourgeoisie est non seulement au service des chercheurs et des enseignants, mais aussi de tout public intéressé par ses collections. Celles-ci sont mises à disposition dans une salle de lecture et sont diffusées également à l’occasion de publications.

La Fondation Gosteli a été créée en 1982 et elle conserve les archives de la plupart des associations de femmes ainsi que celles des femmes importantes de l'histoire contemporaine. Les fonds d'archives sont complétés par une bibliothèque spécialisée et des collections audiovisuelles et documentaires.

Le Fotobüro, fondé en 1999, est géré depuis 2010 par l'association à but non lucratif "Fotobüro Bern". L'institution s'occupe de la documentation, de la conservation, du traitement et de la mise à jour des fonds, du contenu et des thèmes relatifs à la photographie suisse depuis les débuts du médium. Depuis 2004, le Fotobüro travaille au catalogage national des photographes, des fonds photographiques, des expositions et de la littérature. En 2009, l'ouvrage de référence en ligne fotoBE, disponible depuis 2004, a été transformé en photoCH (fr.foto-ch.ch), qui couvre toute la Suisse et la Principauté du Liechtenstein et comprend également un portail d'images depuis 2017.

Le Fotobüro emploie des historiens de la photo, des chercheurs d'autres disciplines, ainsi que des stagiaires ayant des objectifs et des antécédents professionnels variés, des civilistes et du personnel de soutien, ainsi que des spécialistes des technologies de l'information, du graphisme ou de la conception d'expositions, qui sont recrutés de manière sélective.

Le Fotobüro dispose d'une petite collection de photos et, outre une photothèque, il conserve une documentation physique et électronique sur l'histoire de la photographie suisse, qui peut être utilisée sur demande.

La Fondation des Archives de l'ancien Evêché de Bâle est gérée et financée par les Cantons de Berne, du Jura, de Bâle-Campagne et de Bâle-Ville. Elle a pour tâches de conserver, de communiquer et de mettre en valeur les fonds suivants, qui concernent les anciens diocèse et principauté de Bâle (cartes):

• documents produits par les diverses administrations ou instances judiciaires des princes-évêques de Bâle, au spirituel (diocèse, section A) comme au temporel (Evêché, section B);
• archives des établissements religieux supprimés lors de l'annexion à la France au moment de la Révolution (chapitres de Moutier-Grandval et Saint-Ursanne, couvents de Bellelay et Lucelle, etc.);
• documents de l'administration française (1793-1813): département du Mont-Terrible, arrondissements de Delémont et de Porrentruy du dép. du Haut-Rhin; Justice; Etat civil;
• fonds Principauté de Porrentruy: régences Andlau et Escher (1814-1815);
• dons et entrées extraordinaires (fonds privés).

La consultation des documents est ouverte à tous et gratuite. En salle de lecture, les chercheurs sont orientés par un archiviste. Ils disposent aussi d’une riche bibliothèque de travail, consultable sur place.

La recherche scientifique et la médiation sont particulièrement mises en avant: les archivistes rédigent des articles scientifiques, donnent des conférences; ils organisent aussi des colloques, participent à des expositions, reçoivent des visites de groupes et de classes, etc.

En quelques chiffres:

• env. 1300 mètres linéaires d'archives;
• 3500 chartes;
• le document le plus ancien date de 878.

La « bibliothèque de recherche Pestalozzianum » s'occupe des collections d'histoire de l'éducation de la Fondation Pestalozzianum. La Fondation Pestalozzianum est née de l'exposition scolaire permanente de 1875 et a collecté dès le début du matériel pédagogique et éducatif. Ainsi, au fil des années, une bibliothèque et une médiathèque pour les enseignants, des archives contenant des sources sur l'histoire de l'éducation ainsi qu'une salle Pestalozzi dans laquelle la vie et l'œuvre de Pestalozzi étaient documentées ont vu le jour.

Aujourd'hui, les collections de la bibliothèque de recherche Pestalozzianum peuvent être divisées en trois domaines :

• Bibliothèque avec de la littérature spécialisée en histoire de l'éducation
• Archives avec des sources sur l'histoire de l'éducation
• Collections d'images avec des supports visuels d'enseignement, comme des peintures murales scolaires ou des diapositives sur verre, et avec des dessins d'enfants et de jeunes du 20e siècle.

La Bibliothèque est une institution communale fondée en 1838. Elle a une double vocation : la lecture publique (dont la lecture jeunesse) et le patrimoine, avec le Département audiovisuel (DAV), les Archives privées (APR) et les Imprimés des Montagnes neuchâteloises (IMN).

Le secteur des Archives privées (appelé Fonds spéciaux – FSP jusqu’en 2022) conserve environ 150 fonds d’origine privée. Ces derniers sont essentiellement composés de textes écrits, ainsi que de photographies et de livres. Ce sont des ensembles qui proviennent de personnalités, d’associations ou d’entreprises. Ces documents sont produits dans le cadre d’activités très variées : architecture, beaux-arts, littérature, enseignement, voyages, politique, association professionnelle, sport, festival… Parmi les plus emblématiques figurent les fonds de Le Corbusier, Charles L’Eplattenier, Albert Béguin, Jules Jacot-Guillarmod, Service civil international (SCI) et Centre de documentation et d’étude sur la langue internationale (CDELI). L’ensemble des fonds est décrit dans le Portail des archives neuchâteloises.

La Bibliothèque est une institution communale fondée en 1838. Elle a une double vocation : la lecture publique (dont la lecture jeunesse) et le patrimoine, avec le Département audiovisuel (DAV), les Archives privées (APR) et les Imprimés des Montagnes neuchâteloises (IMN).

Le Département audiovisuel (DAV) a reçu en 1983, par mandat cantonal, la mission de rassembler, conserver et mettre en valeur le patrimoine audiovisuel du canton de Neuchâtel. Il gère des images animées dans tous les formats de films (8, super 8, 9,5, 16 et 35 mm), des bandes vidéos, des documents sonores sur bandes magnétiques, des cassettes audio, des disques (78, 33 et 45 t), CD et DAT (Digital Audio Tape) ainsi que des photographies (négatifs, tirages et diapositives). Ces dernières sont cataloguées dans RERO ILS, tandis que le son et les images animées sont catalogués dans le Portail des archives neuchâteloises. Au sein des collections du DAV se trouvent à la fois des films de commande (films publicitaires et films de fabrication réalisés pour l’industrie horlogère ou pour des entreprises de renommée internationale telles que Suchard ou Dubied), des films amateurs, la collection de conférences du Club 44 ou des enregistrements dus à l’activité de chasseurs de son.

Fondée en 1895, la Bibliothèque nationale suisse est l’une des plus grandes bibliothèques du pays. Centre de compétences moderne offrant de multiples services, carrefour de recherche et d’étude, elle abrite la plus importante collection au monde de publications relatives à la Suisse. De plus, elle abrite des fonds d’archives importants au Cabinet des estampes et aux Archives littéraires suisses.

Le Cabinet des estampes abrite des estampes, des portraits et des paysages photographiques, des cartes postales, des affiches, des livres d'artistes, des portfolios, des éditions ainsi que des œuvres de petits maîtres suisses (Collection Gugelmann). Il héberge également les Archives fédérales des monuments historiques ainsi que des archives d’artistes, celles de Daniel Spoerri et Karl Gerstner par exemple.

Aux Archives littéraires suisses on trouve des fonds et des archives d'écrivains et de gens de lettres des quatre régions linguistiques de Suisse, mais aussi d’auteurs étrangers ayant des liens avec la Suisse. Parmi les noms les plus illustres, on mentionnera ceux de Friedrich Dürrenmatt, Blaise Cendrars, Patricia Highsmith, Giovanni Orelli, Andri Peer et Robert Walser (dépôt de la fondation Robert-Walser).

La Bibliothèque publique de Neuchâtel (BPUN) est à la fois une bibliothèque d’étude et de recherche, une bibliothèque d’information et de culture générale, et une bibliothèque patrimoniale. Fondée en 1788 dans la dynamique des Lumières, elle est, depuis 1983, constituée en fondation de droit privé financée à la fois par la Ville et le Canton de Neuchâtel. Son fonds moderne se compose de Neocomensia et de collections encyclopédiques avec un accent particulier sur les sciences humaines. Elle compte de nombreux fonds spéciaux, notamment les manuscrits de Jean-Jacques Rousseau (inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco) et de la Société typographique de Neuchâtel (STN). La BPUN est membre du Réseau des bibliothèques neuchâteloises et jurassiennes (RBNJ) et de RERO ILS, réseau réunissant 59 bibliothèques des cantons de Neuchâtel, du Jura, du Valais et de Fribourg (Bulle).

Le Service des archives privées et des manuscrits a pour mission de collecter, conserver et mettre en valeur des fonds d’archives ou des manuscrits émanant de personnalités, d’associations ou d’entreprises liées à Neuchâtel et à ses environs. Il gère plus de 220 fonds, couvrant des domaines aussi variés que la littérature, les beaux-arts, la musique, les sciences ou le théâtre, ainsi qu’une collection de manuscrits isolés. La période qu’ils couvrent s’étend du IXe au XXIe siècle.

Si les archives de Jean-Jacques Rousseau ou celles de la Société typographique font la renommée de la Bibliothèque, beaucoup d’autres documents remarquables méritent d’être étudiés. Parmi les noms les plus illustres, on mentionnera ceux de Denis de Rougemont, Isabelle de Charrière, Léopold Robert, Pierre Chappuis, Monique Laedarch, Cilette Ofaire… La plupart des fonds sont en libre consultation, mais certains d’entre eux nécessitent d’obtenir une autorisation auprès des déposants. Nous invitons les personnes intéressées à prendre contact directement avec le service, au minimum cinq jours à l’avance.

Le réseau HAN comporte d’innombrables successions et fonds d’archives, ainsi que des manuscrits médiévaux et de l’époque moderne, des lettres, des manuscrits musicaux, des photographies et d’autres objets, et les rend accessible à un large public. Le réseau fondé en 2011 rassemble non seulement des archives privées mais aussi des fonds spéciaux des bibliothèques et s’enrichit constamment. On trouve les informations concernant les collections sur le site internet du réseau ou sur les sites des partenaires du réseau.

Sur Archives Online ne figurent pas toutes les institutions du réseau HAN. Cependant on peut y trouver les fonds et collections de la bibliothèque cantonale d’Appenzell Rhodes-Extérieures, de la bibliothèque universitaire de Bâle, de l’archives économiques de la Suisse, de l’archives sur l’histoire du mouvement des femmes en Suisse, la bibliothèque universitaire de Berne (y compris les archives et la collection d’Hermann Rorschach, la bibliothèque Suisse de l’Europe de l’Est et le Centre des fonds historiques), la bibliothèque centrale et universitaire de Lucerne, la bibliothèque cantonale Vadiana de St-Gall et la bibliothèque centrale de Soleure.

La Zentralbibliothek Zürich (ZB) est la bibliothèque cantonale, municipale et universitaire de Zurich depuis plus de 100 ans. Comptant parmi les plus grandes bibliothèques de Suisse, elle emploie plus de 200 collaborateurs et possède 6,6 millions de documents (livres, périodiques, manuscrits, microformes, documents sonores, etc.), auxquels s’ajoutent de nombreuses bases de données et plus de 25 000 textes intégraux au format électronique. La ZB accueille chaque année un demi-million de visiteurs qui profitent de ses offres variées.

Les six collections spéciales de la ZB – Manuscrits, Imprimés anciens, Iconographie, Cartes, Musique et Turicensia – conservent et préservent le patrimoine culturel de la ville et du canton de Zurich. Les fonds des bibliothèques qui ont précédé la ZB revêtent une importance fondamentale, en particulier ceux de la bibliothèque municipale fondée en 1629 et de la bibliothèque cantonale qui a repris, lors de sa création en 1835, la collection de la bibliothèque du chapitre des chanoines du Grossmünster, laquelle avait été fermée. En plus de ces fonds historiques, la ZB abrite aujourd’hui plus de 800 legs et les archives d’environ 180 familles et organismes (maisons d’édition, sociétés, corporations), dont ceux de théologiens et de savants tels que Heinrich Bullinger, Johann Jakob Bodmer, Johann Caspar Lavater, Albert Schweitzer et Jeanne Hersch, d’écrivains et d’artistes tels que Gottfried Keller, Conrad Ferdinand Meyer, Elias Canetti, Oskar Kokoschka et Johannes Itten et de compositeurs tels que Hans Georg Nägeli, Othmar Schoeck, Heinrich Sutermeister et Wilhelm Furtwängler. Elle détient également 1,1 million d’œuvres graphiques et photographies, 325 000 cartes et 220 000 partitions.